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Quand nous avons passé commande il y a 13 mois et demi + 8 mois, nous l’avions pris sans l’option on/off. Et bien, quelle erreur ! Pour bb2, rapellez-moi bien qu’il faut absolument, en plus des options « fait ses nuits en sortant de la maternité ET continue de les faire les mois suivants », « ne pleure jamais » et « mange de tout », que je le prenne avec un bouton on/off
Arthur, lui, il n’y a pas de soucis, il a bien compris comment fonctionner ce type de bouton.
Ca a un côté plutôt drôle quand son père, avachi sur le canapé se désespère de ne pas pouvoir suivre les courses de formule1 alors qu’Arthur, souriant et tout fier de lui allume la télé, l’éteint, la rallume, l’éteint de nouveau.
C’est fabuleux comment la notion de répétition fait tripper les bébés. Ce petit jeu pourrait durer des heures, si excédée d’écouter les bruits de F1 en alternance, ce qui est encore bien pire que de els écouter en continu, j’éteins la télé avec l’outil magique qu’est la télécommande.
D’ailleurs, Arthur a bien fait le lien télé/télécommande et tape sur la première allègrement avec la deuxième, et de plus en plus fort, au cas où il y aurait une notion de force dans le concept on/off
Un objet qui a aussi du succès est évidemment l’interrupteur. Dans l’œil fasciné d’Arthur, on voit bien qu’il se prend pour le maitre de la lumière, pensant dominer là un grand mystère.
A 7h du mat’ quand le dimanche matin nous le mettons entre nous dans l’espoir hypothétique qu’il se rendorme, nous aurions préféré qu’il ne découvre jamais ce pouvoir. Appuyant sur le va-et-vient commandant le lustre, il se jette ensuite sur nous d’un air triomphant.
L’avantage, c’est qu’ une fois sur deux, on peut le voir tomber dans la lumière et éviter ainsi le coup de boule qui suit…
Le bouton on/off fonctionne évidemment sur tous ses jouets musicaux qu’il adore et dont jusque là on avait évité la saturation auditive en maintenant ces foutus jouets sur off.
Maintenant qu’il maitrise…Et bien nous aussi on maitrise toutes ces musiques qui sont exactement les mêmes, sous des rythmes différents.
L’aspirateur plait beaucoup à Arthur. Je vois bien sur, tous les avantages de cette situation, quand mon fils, du haut de ses futurs 16 ans passera sans râler l’aspi dans sa chambre, voire, allez, soyons fous, dans toute la maison puisqu’il aime autant cette activité. (Comment ça je rêve ???)
En attendant, me poursuivant partout dans la maison en se cramponnant à l’appareil en faisant un « brrrrr » qui suit chacun de mes pas, il a découvert que s’il appuyait sur un certain bouton, l’appareil s’arrêtait et moi je lui lançait un regard noir, ce qui le fait profondément rire. Et puis sur l’autre bouton, c’est le fil qui arrive à toute vitesse.
Tout ça est bien rigolo, certes, mais quand même, bientôt, je vais mettre autant de temps que mon homme pour faire le ménage. Je ne parle pas évidemment du temps que peut mettre à mon homme à faire le ménage quand il a Arthur dans les pattes… (Hé hé, au moins, il fait le ménage, moi le mien, mesdames !)
Arf ! En tout cas, si l’une d’entre vous a hérité du même modèle que moi (le bébé sans bouton on/off, pas l’homme qui fait le ménage, hein !), si elle peut me refiler le mode d’emplois pour que de temps en temps je puisse souffler…
On est quand même super fiers de notre monstroplante !
Gros becs à toutes !