Ptit Noyau a enfin éclos et il grandit...grandit...
dimanche 27 septembre 2009
Dur dur les légos...
Arf! Ma Sandy! Tu as bien raison! Un article par mois, c’est bien trop peu! C’est que ça me manque aussi à moi de ne plus conter ma vie sur la blogosphère. Tout autant que ça me manque de ne plus trouver le temps de laisser un petit commentaire au bas de vos articles.
Je me tiens un peu au courant quand même, et je vous lis régulièrement, mais en général à une heure bien avancée de la nuit et le courage me manque pour signaler mon passage.
Bref, j’en profite quand même pour souhaiter la bienvenue à Alban, Alice et Samantha, derniers nés de mes copinautes. D’ailleurs, celles qui me connaissent sous un autre nom que celui de Cerise, doivent se douter à quel point je me sens toute flattée du choix d’un des prénoms!
Comme vous vous en doutez, la raison de mon absence est plutôt une bonne nouvelle puisque cela signifie qu’on est (enfin) débordé par les travaux de la maison.
Et oui, après avoir attendu longtemps et longtemps les réponses du permis de construire, la livraison de la charpente, le séchage de la chape, nous voilà enfin entrain de ramer comme des malades sur l’agrandissement de notre cabane.
Bon, elle nous donne du fil à retordre cette foutue maison! Les légos, en fait, c’est bien difficile et je comprends bien pourquoi mon loupiot se met en colère derrière les siens quand il n’arrive pas à faire une tour!
Grâce à des potes, elle avance quand même et on se retrouve maintenant avec:
- Une maison actuelle décapotable et rabotée sur quelques côtés (si si, je vous assure, ils l’ont découpé à la tronçonneuse et depuis on voit les étoiles du salon)
- 3 grands murs plus grands que les anciens sans fenêtre ni porte
- 4 énormes piliers que mon homme a coulé certains soirs jusqu’à plus de minuit
- 2 beaux poteaux tout neufs
- Et le reste dans le jardin bien sur!
J’avoue. Ca ne ressemble pas à grand-chose mais finalement, ça ne ressemblait pas à grand-chose avant non plus, ça ne nous change donc pas trop trop.
Et puis, rentrer et sortir de la maison par une fenêtre (qui n’a pas résisté aux vibrations de la tronçonneuse), ça sera très rigolo quand on en reparlera dans quelques mois.
Pour les trous des fenêtres et du toit ouvrant, on se dit qu’on a de la chance d’être dans le sud de la France. C’est pas comme si on dormait dehors en plein décembre, hein!
Allez, bientôt, on aura un vrai toit sur la tête, et l’ordi sera installé dans un super bureau/salle de jeux où je pourrais tranquillement écrire tout plein d’articles que j’ai dans la tête pour mon blog
Gros becs à toutes
Je pense bien à vous!
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